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9 juillet 2008

Qui m'aime me suive (bis)

Eh oui, je change encore d'interface. Blog**** (pour ne pas ploguer ledit compétiteur de Canalblog) , me voilà!

De Ah! à Zèle

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5 juin 2008

On parle déjà de l'automne

291205_detail_popupAlors, vous profitez de la saison des coups de chaleur (et de l'essence à prix élevé) qui vient tout juste de débuter? Parions que ceux qui chialent présentement en raison de l'humidité, et qui chialaient cet hiver, rechialeront cet été.

Donc, l'été se fait maintenant sentir, tandis que du côté des réseaux radiophoniques et télévisuels, l'automne, lui, dégage une forte odeur de cotes d'écoute et de préparatifs, mettons. En plein mois de juin.

Je m'explique.

Le 25 mai dernier, dans le Journal de Montréal, on expliquait comment, et pourquoi, les feuilles avaient déjà envie de  tomber dans les stations de radio, plus précisément, dans le secteur du marketing.

De plus, mardi dernier, Radio-Canada levait le voile, à qui voulait bien la voir - Remstar attirait déjà beaucoup l'attention -darkevilhinnh8, sa pré-programmation de l'automne (il y a de fortes chances qu'elle change d'ici septembre). Pour le moment, mon regard s'arrête particulièrement sur Les Invincibles (!!!), Les hauts et les bas de Sophie Paquin (Malik ou Mathieu?), le troisième et tout dernier C.A. (dont Louis Morissette ne cesse d'améliorer les procès-verbaux), le retour inopiné de 3600 secondes d'extase (qui deviendra peut-être 1800 secondes de n'importe quoi?) et Les Parent (un des fils de ladite famille s'appelle quand même Olivier!). Je reste toutefois de glace devant les deux nouvelles comédies La grosse vie et Roxy.

En lisant les articles qui couvraient cette planification radio-canadienne, j'ai réalisé (sans surprise) qu'encore une fois, la SRC et TVA frapperont fort dans le ring du prime-time* - tandis que TQS diffusera des images de webcam dans une chaloupe. C'est pourquoi je vous conseille de consommer la télévision avec modération cet été, puisque ce combat décisif sera bientôt à l'affiche de votre petit écran.

Automne 2008.

*Heures de grande écoute.

27 mai 2008

Chers héros (et/ou antihéros)

Je ne suis pas un fana de la télé américaine (pas encore, en tout cas). Alors, on me perd totalement quand il est question des séries Lost, 24 ou Desperate Housewives. Et, même si je voulais les découvrir, je devrais (presque) me résoudre à mon léger retard. J'envisage, un jour, de m'y mettre pendant un long week-end pluvieux, flanqué des nombreux coffrets DVD. Tout ça pour en venir au fait que Radio-Canada et TVA m'ont chacun offert un beau cadeau, ou plutôt une belle surprise, en cette saison morte de la télé. En effet, je vous fais part de deux gros coups de coeur présentement à l'antenne, et ce, pour tout l'été : Ugly Betty et Heroes. Chère Betty et Les Héros, si vous préférez.

D'une part, je craque pour l'attachante Betty Suarez (convaincante America Ferrera) qui fait des pieds et des mains pour percer dans le milieu de la presse. L'offre du magazine Mode arrive dans sa vie au moment où le père du nouveau rédacteur en chef (et tombeur de ces dames) Daniel Meade, recherche une assistante qui freinerait les agissements de son fils, causés par un certain surplus de testostérone. Traduction : le père recherche une assistante à l'apparence suffisamment repoussante pour l'empêcher de s'émoustiller avec celle-ci. À travers sa quête de considération, Betty doit vivre avec les nombreuses demandes insignifiantes de son supérieur, les bassesses de la botoxée Wilhelmina, les moqueries de (la majorité de) ces collègues de travail et, comme si ce n'était pas suffisant, les aléas de la vie familiale - allant des troubles causés par la clandestinité de son père aux comportements de son neveu à peine efféminé. Une famille reposant sur Betty donc, à un point où l'on identifie cette dernière comme étant la mère de ladite maisonnée du Bronx. Petit bémol : le dénouement des épisodes jouent trop souvent la carte des bons sentimens, des remords ou des excuses gnan-gnan.

1185957220000D'autre part, j'avais lu qu'on devenait vite accro aux Héros, c'est pourquoi j'avais enregistré les premières émissions, dans le but de m'y attarder lorsque le temps me le permettrait. Chose qui s'est réalisée cette semaine. Dès les premières minutes, j'étais conquis. Le créateur (Tim Kring) ne niaise pas avec la puck, puisqu'il commence par nous présenter chacun des personnages initiaux dans leur coin de pays - la plupart se trouvent aux États-Unis -, nous permettant ainsi d'identifier leurs superpouvoirs respectifs. Des pouvoirs qui sont la pierre angulaire de l'intrigue de cette série - qui en sera à sa troisième saison chez nos voisins du Sud, à l'automne - et qui rappellent à certains égards les X-Men. Ça va de la cheerleader capable de se guérir de tout, au Japonais qui joue avec l'espace-temps, en passant par l'héroïnomane qui peint le futur et le politicien capable de voler. Et j'en passe, car, au fil des premiers épisodes, on découvre de nouveaux personnages qui se greffent à l'histoire de façon toujours justifiée. En présence de ces héros en devenir, on retrouve également le fils d'un scientifique, décédé (mystérieusement) tout juste avant de mettre à terme ses recherches inhérentes aux particularités de ces individus. Et inévitablement, un méchant, qui semble responsable d'une multitude de meurtres sordides. Au final, on sait qu'un terrible événement secouera le monde entier. Ces gens pas ordinaires, tous intereliés, ont alors du pain sur la planche en matière de sauvetage humanitaire. Et ils ont 23 tranches d'une heure pour éviter que cette vision du futur se produise réellement.

Vous avez l'eau à la bouche? Sachez qu'il n'est pas trop tard pour consommer ces oeuvres certifiées O.Parent. Il est possible de suivre les péripéties de Betty sans avoir écouté chacune des émissions, les résumés au début des épisodes aidant. Or, pour les Héros, les premiers épisodes étaient très riches en détails et les résumés couvrent souvent la semaine précédente seulement. Il est toutefois possible de dénicher la première saison entière sur le Web, assez facilement, merci. Je dis ça comme ça...

(Pis,)ramide?
Une autre nouveauté que j'aime syntoniser (quand j'y pense) : le nouveau quiz de Radio-Canada, Pyramide. Sébastien «Ça serait l'fun!» Benoît s'en sort bien au niveau de l'animation considérant l'aspect routinier du concept, tandis que les artistes, eux, s'en tirent très bien, côté connaissances générales. Le plus allumé jusqu'à maintenant demeure à mon avis Rémi-Pierre Paquin. Techniquement, les trente minutes de devinettes sont bien divisées, afin de laisser les téléspectateurs sur leur faim, puisque chaque «grande pyramide» se déroule après quelques pauses publicitaires. Petite interrogation ici : pourquoi avoir un public en studio et  le cacher? Si c'est pour éviter des malaises, rappelant ceux de Tous pour un par exemple, il devrait tout simplement pas en avoir. Ce qui me chicote davantage, c'est le peu de sous donnés aux concurrents (parfois même, rien du tout), alors qu'on vantait un jeu télévisé doté d'une récompense de 3000$, lors de la campagne de promotion. L'indicatif musical,
m'apparaissant parfait pour une compétition sportive, serait également à retravailler. Mis à part ces éléments (facilement modifiables), «ça serait l'fun» si le jeu revenait à l'automne.

/ Chère Betty : les lundis 20h, SRC.
/ Les Héros : les jeudis 21h, TVA.
/ Pyramide : du lundi au vendredi 17h30, SRC.

23 mai 2008

Qui dit mi-mai, dit coups de coeur d'Olivier

Après plusieurs semaines d'abstinence à l'égard de la blogosphère, causée par une fin de session, un retour à la maison et une recherche d'emploi (toujours en vigueur), me voilà enfin de retour pour tenter de vous divertir ou de vous informer. Question d'égayer votre été à coup de découvertes et d'analyses personnelles toujours pertinentes. Comme je sais si bien le faire, me direz-vous. En effet (hum, hum).

Je commence sans plus tarder par vous confier mon gros coup de coeur d'internaute des derniers mois. En fait, depuis mars, j'apprivoise un blogue plutôt marginal, dont le tenancier use de créativité, et ce, à l'aide d'un style d'écriture franchement rafraîchissant, de dessins approximatifs, mais efficaces pour traduire ses états d'âme et d'une intrigue écrite à la façon d'une télé réalité (lire : sachant comment créer une dépendance auprès de son lectorat). Lorsque j'ai découvert ce dénommé Simon (il préfère se cacher derrière une fausse identité), il parlait constamment de sexe avec une approche directe et crue. Oubliez les métaphores et les euphémismes, il ne passait (et il ne passe toujours) pas par quatre chemins pour raconter son train-train quotidien.

Maintenant révélé à un plus grand bassin de personnes (grâce à Patrick Lagacé), il s'attarde davantage aux commentaires de ses lecteurs et à sa popularité. Il veut plaire et il ne le nie pas. «Est-ce que je suis devenu une bête de cirque?», pensait-il tout haut, le 10 mai dernier. Sa force demeure, à mon avis, ses «posts» ponctués de moments croustillants le mettant en vedette, lui, ses conquêtes et son «coloc pas propre» (l'indésirable rappelant l'ennemi du héros dans les films), notamment. Telle sa fuite avec les vêtements d'un des deux «amis modernes» avec qui il se trouvait, bien malgré lui.

La raison pour laquelle ce phénomène humain du cyberespace me captive : le doute vis-à-vis de la véracité de ses propos. Est-ce vraiment vrai? Car il
serait facile d'exagérer, voire d'inventer certaines aventures personnelles afin de conserver sa soudaine «célébrité» basée, disons-le, sur le voyeurisme de ses lecteurs.

Je pense par exemple à sa relation avec un homme marié, explicitée sous divers angles, si vous voyez ce que je veux dire. Un mois plus tard, il nous faisait part de mystérieux appels téléphoniques chez lui. On apprenait finalement qu'il s'agissait de la femme dudit «amant», qui appelait pour lui faire peur, histoire de se venger de l'infidélité de son conjoint. Une chose est sûre, si cela provient de son imagination, il est vraiment brillant, car on embarque complètement dans ses histoires. «J'en ai rien à crisser que vous pensiez que c'est de la bullshit ce que je raconte. Tant mieux si ça vous fait plaisir...» À le lire, on comprend que je ne suis pas le seul à remettre en question le contenu de son blogue.

Peu importe. Parlez-en en mal, parlez-en en bien, mais parlez-en, comme on dit. Découvrez cette «attrait cyber-touristique», ici (également placé dans mes liens, à gauche).

Et tant qu'à naviguer sur Internet, rincez-vous l'oeil en visionnant cette sublime publicité que vous avez peut-être déjà vu à la télé.  Récidivez et savourez la séquence où un des sumos relève la tête tout en partageant sa sensualité au ra-len-ti. Rigolo.

À placer dans son iPodl_939e6783f8dbb4abea75f380660bee23
Homecoming de The Teenagers. Une idylle transatlantique, à l'ère des amis virtuels (
«And don't forget to send me a friend request! As if...»), via votre mp3 vous est offerte par ce groupe français qui doit son succès (en France et au Royaume-Uni, tout particulièrement) à MySpace. Un vrai bijou musical. Love No et Starlett Johansson sont aussi très réussies.

25 avril 2008

Foglia et St-Agapit

Quoi?! Ai-je bien lu?

...

Ça l'air que dans sa chronique sur la Route Verte, Pierre Foglia a inséré St-Agapit (car, oui, la Route Verte de vélo passe par mon village).

Puisque vous semblez toujours perplexes : « Mais la plus belle véloroute du monde? Hola! Belle entre Saint-Jérôme et Granby? Entre Granby et Drummondville? Entre Drummondville et Shawinigan? Entre Victo et Québec par Saint-Agapit? »

Il aurait pu mentionner 472 828 autres villages que St-Agapit. Mais non, la beauté de mon trou de village doit l'avoir marqué. Ou son nom.

Merci M. Foglia, malgré le propos négatif de cette plogue. Ça a fait ma journée!

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29 mars 2008

La fonte du petit écran

Lorsque la neige (quelle neige?) disparaît lentement, mais sûrement du paysage, les téléséries, elles, fondent de l’horaire télé. C’est alors que les reprises semblent trôner dans les programmations des diffuseurs. J’ai bien dis « sembler », car un léger vent d’émissions originales souffle sur notre téléviseur cette année, telle la rafraîchissante brise printanière.

En fait, les retours ou les nouveautés à surveiller proviennent, à l’exception près, de Radio-Canada. À commencer par la deuxième saison du concept désopilant qu’est Ici Louis-José Houde. Vous l’aurez deviné, l’humoriste nous revient avec des archives télévisuelles directement sorties des boules à mites radio-canadiennes : publicités, téléromans (Watatatow, Le temps d’une paix), reportages. La formule des vedettes invitées pour témoigner des premières expériences de leur curriculum vitae (probablement effacées depuis) sera toujours en vigueur. Marina Orsini, Marc Labrèche, Michèle Richard et Guy A. Lepage en font partie.

Pour les fanas de la politique, la seconde partie de l’adaptation de la vie de René Lévesque a débuté le 25 mars dernier. Il n’est toujours pas trop tard pour suivre le cheminement du 23e Premier ministre du Québec, interprété par Emmanuel Bilodeau, de 1976 à 1985. Du triomphe à la déconfiture…

Du côté des nouveautés, on note un téléroman à conscience écologique et un quiz. Depuis le 27 mars, Belle-Baie raconte l’histoire (vraie) d’un village acadien (Belledune, dans la réalité) chamboulé par la volonté d’une multinationale d’implanter un incinérateur de déchets industriels dans son enceinte. Un geste qui mettrait en péril leur industrie halieutique. Tournée au Nouveau-Brunswick, la série réunira Pascale Bussières, Gilbert Sicotte et Jean-François Pichette. Sachez qu’on annonce déjà 11 nouveaux épisodes pour l’automne.

Quant à l’énième nouveau jeu télévisé, Sébastien Benoît animera Pyramide, cette résurrection d’un concept américain maintes fois adapté (en France et en Russie, notamment). En résumé, deux concurrents s’affrontent, aidés par un artiste (parmi les vedettes invitées lors de l’émission le jour du tournage), en tentant de deviner des mots reliés à des thèmes (ou vice-versa). 30 ou 60 secondes pour chaque question, pour un enjeu de 3000$. Le gagnant pourra rejouer avec une nouvelle personnalité artistique le soir suivant. Aucun achat requis. Maximum de 5 émissions par candidat.

Ugly_BettyUne autre catégorie d’émissions arrivant avec le beau temps demeure celle des productions détenant le sceau de l’oncle Sam. Il faut dire que les traductions peu coûteuses sont favorisées à ce temps-ci de l’année, vu la baisse du temps d’écoute. Trois séries populaires chez nos voisins prennent l’antenne à la télé publique : Perdus, Beautés désespérées et Chère Betty. Dans les deux premiers cas, il s’agit des quatrièmes saisons, disponibles exceptionnellement quelques semaines après leur diffusion sur les réseaux américains, en raison des tournages paralysés par la grève des scénaristes. Chère Betty, version française d’Ugly Betty, est une comédie entourant Betty Suarez, assistante du rédacteur en chef d’un prestigieux magazine de mode. Celle-ci détient tous les qualificatifs pour ledit poste, sauf la beauté. Critère (malheureusement) peu banal dans l’univers de la mode.

Pendant que Betty tentera d’impressionner ses collègues drapés de vêtements derniers cris, Marie-Lise Pilote criera dans son porte-voix sur la chaîne rivale, dans le cadre de Ma Maison Rona. Le concept des cinq dernières années n’a pas été modifié. Deux familles (déjà choisies) bénéficieront des sous (300 000$) que leur offrent le producteur et les commanditaires pour bâtir une maison, et ce, avec l’aide d’une équipe d’experts. À la fin, les meilleurs gagnent… mettons. En fait, la famille qui aura reçu le plus grand nombre de votes remportera sa demeure, tandis qu’une mise de fonds sera remise aux «perdants» et que le prix de leur maison sera abaissé à 160 000$.

Rendez-vous recommandés avec votre télé…
/ Ici Louis-José Houde (SRC) : lundi 19h30, dès le 7 avril.
/ René – le destin d’un chef (SRC) : mardi 20h. 4 épisodes seulement.
/ Belle-Baie (SRC) : jeudi 19h30.
/ Pyramide (SRC) : lundi au vendredi 17h30, dès le 28 avril.
/ Perdus (SRC) : jeudi 20h, dès le 8 mai.
/ Beautés désespérées (SRC) : dès le mardi 29 avril.
/ Chère Betty (SRC) : lundi 20h, dès le 7 avril.
/ Ma maison Rona (TVA) : lundi 20h, dès les 7 avril.
/ Bons baisers de France (SRC) : lundi au vendredi 21h, début mai.

27 mars 2008

Méli-mélo : mélange d'amuse-gueule à saveur de télé

Bon. Voici quelques trouvailles portant sur mon sujet préféré (non, pas ce qui entoure les chers Roy).

Vendredi dernier, à C'est juste de la TV, les analystes de la «tivi» abordaient la question du placement de produits, parfois abusif (Les Boys, Casino), au sein de notre petit écran québécois. Marc Cassivi semblait avoir fait plusieurs recherches sur le sujet, en considérant les statistiques qu'il lançait çà et là, mais le temps manquait. Le résultat (très pertinent) sous forme écrite.

banniere_web_copie1J'ai eu un coup de foudre blogueux cette semaine. Mélange de journalisme, de radio et de blogue. Et de télé, bien sûr!

Ce dimanche, le leader de BV3 (Bran Van 3000) sera à Tout le monde en parle. Si vous ne connaissez toujours pas ce groupe (ma foi exquis), c'est le temps où jamais. D'autant plus que James Di Salvio se fait très rare dans les médias depuis quelques années. À ne pas manquer!

J'oubliais. Le grand-père de Jonathan et le père de Patrick (qui?), Michel Roy sera également présent. Gageons qu'ils parleront de hockey.*

La Madone au top!
Je vous parlais lundi du nouveau hit de Madonna. On sent déjà les millions engendrés par les ventes de l'album.

*Ce que vous ne savez pas, c'est que je viens de faire monter en flèche les statistiques de cette page en insérant le nom de ces deux illustres modèles du hockey junior.

24 mars 2008

Du bonbon pour les oreilles

MadonnaHardCandyCoverOn attendait (moi, du moins) avec impatience le premier extrait du nouvel album de Madonna, Hard Candy, son onzième opus, en ventes dès le 29 avril prochain. Eh bien, il est maintenant possible de se sucrer l'appareil auditif (quel mauvais jeu de mot...) avec la convaincante 4 minutes. On y reconnaît immédiatement l'essence de Timbaland et la pop de Justin Timberlake. Après le disco et le dance, c'est au tour du style hip hop et urbain à nous envoûter. À l'aube de ses 50 ans, la Madone n'est pas prêt à se faire oublier avec de renommés collaborateurs tels que le duo Timberlake-Timbaland, Pharrell Williams (The Neptunes) et Nate «Danja» Hills (Gimme More, Promiscuous, SexyBack, The Way I Are, etc.). Ça promet.

Seul bémol : la pochette dudit album...

***

Tout le monde aime Éric Salvail
Oui, oui. C'est le titre du vidéoclip de l'heure sur la Toile. Tellement, qu'une version Jet Set a été enregistrée dernièrement (mettant en vedette Les Grandes Gueules, Caroline Néron, Dominic Arcand, Geneviève Borne, etc.). Alors, que vous aimez ou pas Éric Salvail, vous devez écouter cette petite composition de l'équipe de Bombe.tv, dès maintenant. Pour vous faire une tête, pensez à Yves Corbeil des Denis Drolet.

12 mars 2008

Québec bientôt victime du freeze

Je vous parlais récemment de cette mode de figer collectivement dans un lieu public. Freeze_PL_1Eh bien, aujourd'hui, j'ai reçu une double invitation (Hotmail / Facebook) pour agir de la sorte à Laurier Québec (Place Laurier pour les conservateurs). Malheureusement, je ne pourrai y être, mais pour tous ceux qui souhaiteraient y participer, vous devez vous rendre à l'entrée numéro 6 de Place Laurier (près de Renaud-Bray) le jeudi 27 mars prochain à 19h. Les instructions vous seront alors transmises par les organisateurs.

Vivement la vidéo bientôt disponible sur YouTube!

***

Les joyeux naufragés
Si vous êtes déconnectés des médias depuis lundi, sachez que TQS a été sauvé de la noyade financière (traduction : faillite). En effet, l'entreprise Remstar est le nouveau propriétaire de la chaîne généraliste mise sur pause en décembre dernier. Les sauveteurs : Maxime et Julien Rémillard, reconnus pour leur implication dans la distribution et la production de films (Ma fille, mon ange, Elles étaient cinq, No Good Deed,...). Hugo Dumas de La Presse s'est penché sur le sujet de façon plutôt rigoureuse ici et .

P.S. : Pour les amants du voyeurisme, voici un aperçu de la fortune du géniteur des frères Rémillard.

7 mars 2008

Médiatiser avec vigueur

J'ai adoré la série Les Lavigueur. Sans compter l'excellente performance de Laurence Leboeuf. Leur «vraie histoire» adaptée figure parmi les séries cultes de mes 18 jeunes années.

Ce qui me dérange, c'est la bulle médiatique qui a (encore) entouré l'histoire de cette famille. Les sorties publiques de l'avocat de Louise à l'époque et de l'agente immobilière dans les pages du Journal de Montréal. La double diffusion du Match de la vie, cette entrevue dépoussiérée par
2145548606_643583d732 TVA pour être certains de faire mal à Tout le monde en parle, en termes de cotes d'écoute (c'est mon opinion). Yve Lavigueur invité chez Denis Lévesque (qui, m'a-t-on dit, lui coupait toujours la parole). Et maintenant, ledit fier défenseur de la famille va chanter à L'Heure de gloire (de René Simard).

Tout comme dans l'intrigue de la série inspirée par son livre, Yve Lavigueur semble prendre goût à l'intérêt que lui portent les médias. À l'époque, ils étaient à la recherche de n'importe quel bon scoop en l'invitant à se livrer. Maintenant que tout a été dit sur le sujet, ils veulent le nom Lavigueur collé à leur produit.

Je n'ai rien contre les médias (j'en ferai quand même partie dans quelques années), mais plutôt pour l'acharnement occasionnel de ceux-ci. Même si Yve L
avigueur ne semble pas voir ainsi son «nouveau succès».

« Mis à part le fait qu'il s'agit d'un véhicule souvent utilisé par Radio-Canada pour faire mousser ses produits maison, la mini-série étant déjà diffusée, la présence d'Yve Lavigueur à L'Heure de gloire a de quoi surprendre. » (extrait de l'article de Pascale Lévesque du Journal de Montréal, en date d'aujourd'hui)

Elle marque un bon point,
mais est-ce vraiment différent de «mousser» Occupation Double à Salut, bonjour! ou pire, une candidate du Banquier au TVA 22h?

Bon, avant de dévier sur les rivalités entre le clan radio-canadien et le clan Quebecor, je vous promets de ne plus parler des Lavigueur... pour quelque temps.

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